Awa Traore

Awa Traore

Chroniqueuse

De Paris, France

Je fais partie de cette génération qui a grandi avec le club Dorothée mais j’ai aussi eu une enfance bercée par les westerns, les films africains, les films de kung-fu,  le cinéma de Bollywood et enfin les films américains en passant de la black exploitation à Eddy Murphy. Cette large palette de genre cinématographique a développé mes goûts assez éclectiques et mon regard que j’espère ouvert sur le monde.

Je suis une fan inconditionnelle du cinéma de Souleymane Cissé, d’Asghar Farhadi, de James Gray, de Clint Eastwood, de Jane Campion et de comédies anglaises. J’ai un petit faible pour certains blockbusters comme James Bond, les seigneurs des anneaux et les super-héros comme les X-men mais j’ai une préférence pour le cinéma indépendant qui ose plus, bouscule l’establishment  par des histoires originales et parfois son impertinence.

En véritable junkie, je vis et me nourris d’images, de films et de séries  à longueur de journée.

Mes modèles de réussite dans le milieu audiovisuel sont Oprah Winfrey, Tyler Perry et récemment Shonda Rhimes.

Il m’arrivera également de traiter ici certains documentaires projetés sur grand écran.

Mon boulot passionnant de chercheuse de talents artistiques pour une société de production audiovisuelle m’a logiquement poussée à m’intéresser au processus de création comme l’écriture et la réalisation. Je suis donc passée de simple spectatrice à l’écriture d’une nouvelle, à suivre une formation de production et de réalisation à l’Université de Californie du sud à Los Angeles  intitulé : USC Universal Producing and Directing Class.

Je souhaiterais par le biais de l’association faire de nombreuses rencontres enrichissantes et pleines de créativité.