Replongeons pour quelques instants dans l’enfance avec le film de Noël de Disney : La Reine des Neiges ! (par les créateurs de Raiponce et inspiré du conte d’Andersen du même nom).
Avec le recul et du haut de mes 23 ans, la trame narrative de Disney est quelque chose de vu, revu et déjà vu. On sait qui est le méchant, qui va tomber amoureux de qui, qui va survivre et qui va périr… Et pourtant, je me suis littéralement trompée sur le déroulement de cette histoire (ou alors j’ai été trop naïve). Certes on sait tout de suite ou presque, qui formera le couple de l‘histoire, par contre on ne sait pas qui est le « méchant ». On en viendrait même à penser qu’il n’y a pas de méchant. Il y a TOUJOURS un méchant chez Disney ! Mais il ne meurt pas systématiquement.
Surtout il s’agit ici des mêmes concepteurs de Raiponce et l’humour y est similaire. Le féminisme y est présent également comme dans ce dernier, Disney s’adapte à la nouvelle génération: les princesses ne sont plus sauvées par les princes aujourd’hui elles se sauvent elle-même et le prince leur obéit! Rien que pour cela, c’est une bonne raison de « retourner » voir un film Disney (oui à part Raiponce c’était pas très glorieux chez Disney ces derniers temps) où se conjugue conte classique et modernisme dans le traitement de l’histoire.
La Reine des Neiges est un joli dessin animé à voir en famille ou entre amis ayant dépassé l’âge d’aller en primaire (oui, oui).
Voici maintenant la citation du film qui reflète le nouveau monde merveilleux de Disney : « Libérée, délivrée, plus de princesse parfaite! »
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