Les films que l’on ira voir
A Most Violent Year
1981, l’année la plus violente que New York ait jamais connue. Abel Morales, un self-made man ambitieux, et sa femme Anna, sont sur le point de signer un contrat déterminant pour leur société. Si leur capital provient de sources illicites, Abel tient à s’enrichir en toute honnêteté. Mais rester intègre n’est pas chose facile dans une ville où règnent criminalité, corruption et Mafia…
Pourquoi on y va ? Les critiques sont très bonnes et le film vient d’être nommé pour le meilleur scénario, meilleur montage et meilleure interprétation féminine aux Independent Spirit Awards.
Cold In July
1989. Texas. Par une douce nuit, Richard Dane abat un homme qui vient de pénétrer dans sa maison. Alors qu’il est considéré comme un héros par les habitants de sa petite ville, il est malgré lui entraîné dans un monde de corruption et de violence.
les autres sorties…
Pasolini
Le film était en compétition à la dernier mostra de Venise
The Riot Club
Le Riot Club est réservé à l’élite de la nation. Ce cercle très secret d’Oxford fait de la débauche et de l’excès son modèle depuis trois siècles. Miles (Max Irons) et Alistair (Sam Claflin), deux étudiants en première année, ne reculeront devant rien pour avoir l’honneur d’en faire partie…
Le film était en sélection officielle à la TIFF et est réalisé par la réalisatrice de l’excellent « Une éducation ».
Une Heure de Tranquilité
Michel, passionné de jazz, vient de dénicher un album rare qu’il rêve d’écouter tranquillement dans son salon. Mais le monde entier semble s’être ligué contre lui : sa femme choisit justement ce moment pour lui faire une révélation inopportune, son fils débarque à l’improviste, un de ses amis frappe à la porte, tandis que sa mère ne cesse de l’appeler sur son portable… Sans parler du fait qu’il s’agit ce jour-là de la fameuse Fête des Voisins… Manipulateur, menteur, Michel est prêt à tout pour avoir la paix. Est-il encore possible, aujourd’hui, de disposer d’une petite heure de tranquillité ?
C’est l’adaptation de la pièce du talentueux Florian Zeller du même nom. C’est Fabrice Luchini qui interprétait le rôle principal.